Amour, Mort, et Sentiments

J’aurai aimé être dans tes bras,
Sentir la chaleur de ton corps à travers moi.
J’aurais aimé écouter battre ton cœur à mes oreilles,
Car ma vie, sans toi, n’est pas pareille.

Refrain :

J’aurais aimé sentir tes baisers,
Parcourant doucement ma peau veloutée.
J’aurais aimé écouter ton souffle haletant de désir,
Car sans toi, j’ai perdu le sourire.

{R}

J’aurais aimé réunir nos voix,
Dans une parfaite harmonie : toi et moi
Chantant notre Amour, sans peurs et sans craintes, rien que nous deux,
Mais la réalité a brisé mes vœux.

{R}

J’aurais juste aimé que tu m’aimes…

©Tout droits réservés à Marie BENOIT

Je me sens si seule.
Pas de bras pour me câliner,
Pas de mots doux, pas de baisers…
Mais pourquoi suis-je si seule ?

Refrain :

Pourquoi n’aurais-je pas le droit
Moi aussi à un peu d’Amour ?
Pourquoi n’aurais-je pas le droit
Moi aussi à quelqu’un qui m’aime toujours ?

Et encore un couple qui s’embrasse.
C’est soulant, et à force ça me dégoûte.
C’est barbabant et en plus j’ai d’la route
A faire avant que, pour moi, un cœur s’embrase.

{R}

Ah ça y est ! Je l’ai enfin trouvé !
L’homme avec qui je veux faire ma vie.
Il est mignon, sympa, marrant, et il me sourit !
Mais est-ce qu’il voudra de moi en vérité ?

{R}

Eh ben non, c’est quelqu’un d’autre qu’il a choisit.
J’espère au moins qu’il est heureux ?
Pourquoi n’a-t-il pas voulu pour tous les deux ?
Peut-être n’étais-je pas assez bien pour lui…

{R}

Je me sens si seule.
Pas de bras pour me câliner,
Pas de mots doux, pas de baisers…
Mais pourquoi suis-je si seule ?

©Tout droits réservés à Marie BENOIT

Il était ta vie,
Il était ton âme,
Maintenant c’est fini
Son cœur ne bat plus, madame…

Refrain :

Alors…
Comment te dire ?
Sans tu faire du mal,
Sans que tu réagisse, comme un animal ?
Je comprendrais bien sûr mais au final,
Comment te dire ?
Comment te dire ?

Je sais l’amour,
Que tu lui portais.
Je l’extase toujours,
Qu’il t’apportait.

{R}

Je sais que ça va te blesser,
Et tu va faire une bêtise
Que je ne pourrais supporter !
C’est ma hantise…

{R}

(parlé)

Il allait venir te parler,
Mais un camion l’a percuté.
J’étais là et je savais
Ce qu’il aurait voulu te demander
Il aurait voulu… t’épouser…

{R}

Comment te dire…

©Tout droits réservés à Marie BENOIT

J’ai toujours espéré en Toi,
Mais Tu m’as dit : " t’attendras… "
Alors Tu es partie,
Me laissant seule face à ma vie ! ! ! !

Refrain : {R}
Tu es le seul destin possible,
Tu es une force invincible.
Et moi je Te le dis en face :
Emmène-moi ! ! !
(bis)

J’ai vraiment essayé d’me battre,
Mais là c’est bon je craque…
Viens, je t’en supplie,
Viens m’enlever à cette vie ! ! ! !

{R}

Mort, Mort, Mort, Ô Mort,
Je pense à toi si fort.
De Toi je me nourris,
Emporte-moi au Paradis ! ! ! !

{R}

Emmène-moi…

Emmène-moi…

Emmène-moi…

©Tout droits réservés à Marie BENOIT

Elle est pour toi cette chanson,
Toi, qui occupe mon esprit.
Tu rentras dans ma tête sans façon,
Et jamais plus n’en ressortit !

C’est ta faute si je suis là
Dans ce lit d’hôpital
A cracher mes poumons
Eh merde ! Ma gorge fond.

Refrain : {R}
J’ai passé toute ma vie avec toi,
Tu m’as aidé survivre avec toutes ces lois.
Seulement maintenant c’est le trou noir,
Tu m’as tué et je finis ce soir

Tu as été ma meilleure amie,
Et en même temps ma pire ennemie.
Avec toi je riais,
Avec toi je pleurais…

{R}

Quand j’ai décidé d’arrêter,
D’enfin me calmer,
C’était déjà trop tard
Je pouvais plus quitter mon plumard.

{R}

Le souffle me quitte doucement,
Ma vie s’envole vers des cieux plus cléments,
Là où heureusement tu n’existes pas.
Putain de clope tu nous dois bien ça !

©Touts droits réservés à Marie BENOIT

L’autre soir j’étais dans le grenier,
Et en plein rangement j’ai trouvé
Des masses de lettres qui racontaient
Cette guerre si horrible qui est arrivée…

Refrain :{R}

Je descends alors en trombe
Dans le salon, sur toi je tombe,
Alors doucement je te dis :
" Papy, raconte-moi cette boucherie "

{R}

Et toi, tu m’expliques tristement
Ces images, cette histoire qui te hantait tant.
Moi, je suis de plus en plus dégoûtée
Par cette tuerie qui s’est déchaînée.

{R}

Maintenant que je te regarde dormir,
Je me dis que tu as de la chance d’être là,
Mais je sais à quoi m’en tenir,
Car seuls nos choix nous ont menés à ça.

{R}

© Tout droits réservés à Marie BENOIT

Je m’balade sur la plage.
Le soleil couchant reflète sur la mer.
Mes pieds nus dans le sable,
Je commence à dériver vers…

Je suis au bord du précipice sans fin,
Ma vie menace de tomber dans ce gouffre noir,
Peut-être que tout va s’arrêter ce soir.
Mais je sens arriver quelqu’un,
C’est toi, tu me retiens par la main.

Refrain{R}
Un ami ce n’est pas un copain,
C’est quelqu’un qui
Est toujours là quand on en a besoin.
Il nous libère de cette vie.
Cette vie qui nous étouffe
A laquelle il nous faut échapper,
Et c’est pas en claquant des doigts : " Pouf ",
Qu’on peut être sauvé… 

Des larmes brûlantes coulent sur mes joues,
Tu me prends dans tes bras pour me consoler.
Les mots qui sortent doucement de ta bouche attristée,
Glissent lentement sur mon cou,
Et bouchent à jamais cet immonde trou.

{R}

©Tout droits réservés à Marie BENOIT

Tu es toujours en beauté,
Quelle que soit la saison,
Tu sais les accompagner.
Et à te voir, je fonds.

Au printemps, la nature renaît
La verdure apparaît
Ton manteau blanc disparaît
Sauf sur tes cimes enneigées.

En été, le soleil éclaire plus fort
Tout est éclat, tout est or,
Le vent doux dans les feuillages
Donne le bruit cristallin d’un rire de bas âge.

En automne, les couleurs fusent :
Rouge, or, vert, si je ne m’abuse,
Les arcs-en-ciel illuminent le ciel strié d’éclairs,
L’orage tonne et la pluie purifie

En hiver, ton manteau scintillant
Ne laisse personne de glace.
Et la neige, tombant
Ne laisse pas de place…

Alors pour ne pas te salir,
Respectons ta vie,
Pour que tu puisses continuer ;
Ah, les Alpes… à me charmer…

©Tout droits réservés à Marie BENOIT